Chap6 Part11
--C'est tout chaud, la partie 11 de ce chapitre 6, la réponse entre Psykolabe et Valentin 8B Alors que va t-il se passer? Je vous interpelle en même temps sur le fait que c'est l'anniv Kaiju donc, on va continuer la semaine avec une interview de mouaaa <333 donc, vous seriez bien gentils de me MARTELLER de questions, n'importe lesquelles xD Yé soui sûre que vous en avez pleins o3o aucun rapport avec Kaijuôle, question counnes, ma vie, etc ASK PLZ 8B
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Leur sang ne fit qu’un tour. Une Hyène ??? Ils se retournèrent tous lentement et virent un Kaiju avancer dans le couloir, leur bloquant le passage. Une pelage sombre dans le noir mais des lumières couleur émeraude sur lui, puis des yeux rouges : Psykolabe.
« Mais…Mais tu es un Kaiju, qu’est ce que… » S’exclama Valentin. Il se tut en sentant que le Kaiju lui lançait un regard plus qu’assassin.
« Je ne vous laisserais pas partir avec cette Kaiju, j’en ai besoin. »
« Hey ! On n’a pas fait tout ce chemin pour rien ! Elle part avec nous ! »
« Je n’ai que faire de vos ennuis. Disparaissez avant que je n’avertisse les Hyènes de votre présence en ces lieux. »
Malou grimaça et sauta par terre.
« Dis donc, tu vas pas me faire chier longtemps toi, espèce de laitue sur pattes ! »
« Malou ne fais.. »
Trop tard, Psykolabe plaqua Malou d’un bon coup de patte bien placé.
« Partez ! »
« Je ne peux pas repartir sans cette Kaijue ! »
« Je la ramènerais moi-même chez elle. »
« Comment puis-je te faire confiance ? Si tu es un de ces traîtres dont m’a parlé Whisper alors… »
« Ne te mêles pas des histoires de Kaiju et je ne me mêlerais pas des tiennes, Humain. Tu es peut-être l’Elu chargé de ramener la paix chez nous, mais je dois tirer mon épingle du jeu. Et sans elle, je ne pourrais pas me faire ré accepter parmi les miens. »
« C’est à elle de décider ! »
« Elle ne décidera rien. Ici c’est moi qui commande. Alors…Soit tu te calmes, soit je le fais moi-même. »
Psykolabe soupira :
« Je veux bien t’aider à sortir d’ici sans encombres si tu me la laisses. Et ne dis rien à Sanypole une fois que tu seras en sécurité. »
« …. »
Psykolabe laissa partir Malou et sortit de la cellule.
« Retournez sur vos pas et empruntez les couloirs les plus étroits. Les Hyènes sont trop grasses pour y rentrer. Ces couloirs vous mèneront tout droit à la sortie. Après tout dépendra de votre vitesse pour leur échapper. »
Les Nuggets s’échangèrent des regards inquiets puis leurs petits yeux tout mouillés se mirent à fixer Valentin en attente d’une décision. Celui-ci ne se détachait pas de la grimace colérique qui parasitait son visage depuis un moment. Il regarda la jeune Kaijue qui opina de la tête.
« Bon…C’est d’accord… »
Valentin sortit de la cellule en jetant un dernier regard à la jeune créature au pelage bleu nuit. Ses compagnons le suivirent de près et ils s’enfoncèrent de nouveau dans les couloirs. Même remise de ses émotions, Malou avait décidé de ne pas se laisser marcher sur les pieds :
« Tu ne vas donc tout de même pas croire cette verdure ? Et si c’était un piège ? »
« C’était ça où mourir plus rapidement. Faisons comme il a dit. »
Mais ils ne trouvèrent aucun tunnel étroit…Ou alors ils étaient très bien cachés et dans l’ombre, impossible d’y voir plus. Valentin cherchait sur la paroi à tâtons dans l’espoir de croiser un vide et de s’y engouffrer.
« Il nous a raconté du pipeau ! Retournons aux cellules et réglons lui son compte ! »
« Non, Malou ! Red, tu n’as rien trouvé de ton coté ? »
« Rien du tout Valentin, je suis désolé.
« Merde… »
Soudain, le couloir s’alluma et la panique les prit. Une Hyène était dans le coin, et peut-être même plusieurs. Valentin se mit à jurer tout bas et recula vers la zone encore dans l’ombre.
La lumière progressait vers eux assez rapidement et toujours aucun tunnel de visible. Au fond, un trio de Hyènes de très mauvaises humeurs. Elles marchaient tranquillement mais assez vite pour plonger les compères dans un désarroi total.
Et la chose n’allait pas s’arranger de sitôt quand la lumière parvint de leurs cotés.
« On est coincé ! » S’exclama Malou, mais pas assez fort pour qu’on l’entende.
Les Hyènes allaient arriver des deux cotés.
« Je sens quelque chose ! » Aboya l’une d’elles. Puis elles se mirent à accélérer.
Les Hyènes de l’autre coté entendirent également du bruit et pressèrent le pas. L’échine relevée, la bave pendante, elles rêvaient déjà à planter leurs crocs dans la chair fraîche
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