Fin Chapitre 3

-- Une update, enfin, en ce début d'année qui me fait cumuler les insomnies (ça commence bien xD) Je vous écris légèrement la tête dans le paté (relands d'une soirée, je rassure que Cly ne boit pas ). J'aurais bien continuer Kaijupole pendant les vacs mais j'ai oublié le chapitre 5 dans mon autre Pc donc jpouvais pas >_> *se frappe la tête contre le clavier* et je voulais pas trop updater vu que je sais que tout le monde était en vacs, donc personne ne vient aha. Donc voichi la fin du chapitre 3 D:
Réponse à Raiden sur le dessin SiegFried: Raphael?? xD OH NON BEURK et le truc derrière lui bah c'est un S en écriture Old English Gothic truc bidule >_> qui a pixellisé, ce con --

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Rip jura.

« Mais qu’est ce que tu faisais donc là bas ? C’est sur que d’aller leur parler alors que Général foutait le bordel, allait t’attirer des ennuis ! »

«  Je voulais le prévenir que l’Elu était vivant. »

Le sang de Nicol et Rip se glaça. Ils ouvrirent tous deux de grands yeux ahuris.

«  Valentin ? Vivant ? »

« Impossible ! » Grogna Nicol.

«  Ne te fous pas de moi Psykolabe ! Cet humain est mort ! Il est tombé dans l’énorme Trou Vert, je l’ai vu de mes yeux ! »

«  Et bien tu n’as pas bien vu. J’ai entendu Whisper en parler. »

Rip et Nicol échangèrent un regard. Nicol se mit à réfléchir.

«  Ça pourrait….nous servir non ? »

«  Je vous dit qu’ils ne m’écouteront jamais ! Ils ne l’ont pas fait la première fois, ils ne me laisseront pas le faire une deuxième ! »

« D’accord, d’accord ! » Admit Rip en hochant plusieurs fois la tête, signifiant qu’elle avait bien capté son message. Psykolabe n’allait pas du tout les aider.  «  Ne vas pas te faire tuer pour rien. Nous avons besoin du plus de personne possible pour faire face à Général. »

«  Nous sommes un peu comme l’Elite, Général ne fera pas l’erreur de nous sous-estimer » Remarqua Nicol.

«  Bon alors… Ne parlons plus de l’Elu, il ne faut pas que ça parvienne aux oreilles de Général. »

« Etouffez l’affaire ? » Proposa Nicol.

«  Il vaut mieux être prudent oui, mais combien de personnes sont au courant ? »

«  Connaissant Whisper, il ne dira rien, de même pour ce poulpe à qui il parlait. »

Le visage de Rip sembla s’éclairer soudainement :

«  J’ai une idée ! Il y a une personne qui en parlera sûrement aux Kaiju ! »

Psykolabe était sur le point de demander qui lorsque Rip sauta de son perchoir et chuchota son idée à ce dernier. Nicol avait beau tendre l’oreille, il ne capta pas un mot.

« Mieux vaut restreindre le champ des prévenus. J’espère que tu ne m’en veux pas Nicol. »

Il secoua la tête.

«  Bon, alors nous sommes d’accord sur ce qu’il convient de faire Psykolabe. Maintenant, rentrons, avant que l’on ne s’aperçoive de notre absence. »

Yû tentait de trouver du réconfort en regardant le magnifique ciel étoilé qu’offrait la nuit à KaijuPôle. Mais rien n’y faisait. Son ami Kamelot la rejoignit après la réunion, sur la plus haute tour de la cité.

« Yû, pourquoi n’es-tu pas venue à la réunion ? »

«  J’ai déjà du mal à réaliser ce qui s’est passé cet après-midi. Et s’il aurait fallu le revivre par les dires de mon père, je n’aurais pas pu le supporter. » Répondit-elle en baissant la tête.

«  D’accord… »

Il s’assit près d’elle, triste de la voir dans un état pareil. Les Kaiju ne montraient que très peu leurs sentiments lorsqu’il s’agissait d’une personne qui n’était pas des leurs. Mais Valentin représentait tellement pour eux. Et le fait d’avoir échoué dans une mission des plus importantes, l’attrista encore plus.

« Ecoute Yû, tout n’est pas de ta faute. Nous sommes tous autant responsable que toi. »

«  J’étais chargée de sa protection. Et je n’ai rien pu faire. Les Hyènes ont été plus fortes que nous sur ce point là. »

«  Il vaut mieux que tu ailles te reposer Yû. Ça a été une dure journée pour tout le monde. »

« Est-ce que mon père a ordonné quelque chose ? »

«  Il va essayer d’aller parler aux autres chefs mais la parole de Valentin aurait été plus convaincante. Sanypole lui-même commence à ne plus trop y croire. »

«  Ma mère essaye de lui faire comprendre qu’il faut continuer à aider les humains. Mais plus ça va et plus elle perd de son autorité. Père est tellement furieux. »

«  Nous verrons cela plus tard. Maintenant Yû, va te coucher. »

Puis Kamelot s’en alla, se retournant plusieurs fois pour s’assurer que Yû le suivait. Mais elle marchait toujours, face contre terre.